Des milliers de masques ont été détruits en France récemment, car ils étaient considérés comme gâtés. Le gouvernement assure qu’ils étaient hors d’usage, mais selon les médias, certains d’entre eux pourraient être malgré tout utilisés. Plus d’éclaircissement sur ce sujet dans la suite de ce poste.
La France disposait de masque au début de l’épidémie de COvid-19 ?
La réponse à cette question est clairement non, l’État français ne disposait pas au début de stock de masques pour affronter le coronavirus. Il y a deux mois de cela, le ministre de la Santé Olivier Véran affirmait que les stocks stratégiques composaient près de120 millions de masques chirurgicaux et il n’y avait aucun masque FFP2. Mais lorsqu’on sait le nombre de masques que la France utilise par jour (40millions) on comprend que ce stock est largement insuffisant en temps de pandémie. Pour en savoir plus, visitez le site web.
D’après les médias, il y avait encore plus 714 millions de masques chirurgicaux en stock vers la fin du dernier mandat de l’ancien président français : François Hollande. Aussi le journal précise que la majorité de ces masques dataient depuis 2006. Mais comment sommes-nous de 714 à 117 millions de masques en mois de 3 ans ? Sachez juste que 596 millions de masques ont été détruits.
Ces masques pouvaient encore servir durant cette pandémie ?
C’est après une expertise menée il y a deux ans par Santé publique France que la destruction des masques a été décidée. Selon François Bourdillon, le directeur de l’agence sanitaire, seuls 100 millions de masques étaient encore en état. Mais selon Benoit Vallet, le nouveau directeur général de la santé, une partie de ces masques brulés pouvaient encore servir même quand ils sont anciens.